Le journal de bord

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dimanche 21 décembre 2008

Visite de l'Atelier de Robert Combas

Par Julien - 1COM
"...ça été probablement ma visite préférée. C'est la découverte d'un artiste, de ses oeuvres, de sa vie, de son lieu de travail, de sa personnalité..."

Par Julie
"... J'ai été scotchée quand il a peint devant nous une de ses oeuvres, car il nous a parlé et peignait son oeuvre en même temps. Il a fait beaucoup d'oeuvres magnifiques, un album avec des BDs... Cequ'il fait je le respecte, c'est beaucoup de boulot !..."

Par Sabrina
"...une des journées que j'ai préférée. c'était archi-intéressant comme rencontre. M.COMBAS était très sympathique, et la sortie était bien organisée. Il y régnait une bonne ambiance. Il n'y avait pas un moment où on s'ennuyait. On a pu voir à quel point M.COMBAS était stressé, vu la façon dont il se tenait. A refaire !..."

Par Wendy
"... J'ai trouvé le travail de M.COMBAS surprenant, mais j'ai bien adhéré..."

mardi 16 décembre 2008

"La confortable irrégularité"

Par Julien, élève de 1 COM – LP Louis Blériot - Etampes.

L’œuvre de Jean Dubuffet est une œuvre très particulière de par l’originalité de sa structure et de ses formes diverses.
C’est une installation en trois dimensions que l’on peut visiter et toucher librement. C’est une sorte de salle où l’on se sent bien, où l’envie de s’y installer surprend une fois à l’intérieur.
Ses formes sont assez étranges. Il y a une dominante de courbes, des lignes et des formes irrégulières que ce soit au sol, sur les côtés ou au plafond. Toutes ces formes sont simples à repérer car les lignes sont noires sur blanc et laissent place à des renfoncements ou des dépassements de la paroi. Cette œuvre est faite sous forme de brouillage : elle est très irrégulière par ses formes et par les lignes qui les démarquent, il est difficile de savoir ce qu’elles représentent. Et pourtant l’atmosphère est douce, silencieuse, on s’y sent à l’aise et tranquille. Un coin est plus sombre que l’autre et ses renfoncements paraissent confortables. Rien n’est précis, aucune forme n’est identique à une autre, aucun endroit n’est plat. La froideur des couleurs ne nuit pas au confort.
Cette œuvre a été faite avec des matériaux simples, avec des moyens pauvres et pourtant le résultat est un grand succès et cela est une œuvre d’art exceptionnelle. Si peu de moyens et pourtant cette œuvre nous fait éprouver des sentiments une fois à l’intérieur.
On se sent blotti, enfermé et pourtant l’œuvre est ouverte à tous et est exposée à tout le monde, et surtout, il ya cette impression d’être dans un cocon à l’abri des autres.
Le décor est faux, superficiel et peu sécurisant mais psychologiquement, on se sent rassuré, en sécurité, apaisé. L’œuvre a un réel impact psychologique sur la personne.

"Une caverne de solitude"

Par Aurélien, élève de 1 COM – LP Louis Blériot - Etampes

L’œuvre « Jardin d’hiver » a été créée par Jean Dubuffet. C’est une installation, une pièce en trois dimensions. La couleur dominante est le blanc dont une multitude de lignes noires le recouvre, épousant les creux et les bosses qui jonchent cette œuvre. Les formes que créent ces lignes noires sont aléatoires : ce sont principalement des ronds ou des formes circulaires.
L’artiste a eu cette idée lors d’une discussion téléphonique pendant laquelle sa main à librement dessiné des formes, ce qui lui donna l’idée de cette œuvre. En sachant cela, nous pouvons imager que son œuvre est une sorte de boule de papier et que les lignes noires désignent les pliures de celle-ci.
La pièce est vide, il n’y a aucun objet, elle dégage une sensation de calme, de silence. On se sent perdu, sans point de repère, brouillé. Ensuite, l’absence de lumière donne un côté sombre à la pièce mais une ouverture peut laisser entrer un trait de lumière. Elle éclaire une plate-forme (la plus grande de la pièce) ce qui rajoute de la chaleur à la pièce et une sorte de confort.
Avec des moyens assez basiques, voire pauvres, l’artiste a réussi à créer un univers, un espace fermé mais qui donne l’impression que la liberté ne s’arrête pas qu’au mur. Le blanc et les lignes noires donnent un effet psychédélique comme si les murs bougeaient, comme s’ils étaient plus loin qu’en réalité. Cette œuvre rassemble deux couleurs qui s’opposent : le blanc qui rassure et qui donne un côté sacré, lumineux et le noir qui accentue le blanc mais qui donne un effet de solitude et de tristesse.
Je pense que cette œuvre est une caverne de solitude où l’on se remet en question, où l’on trouve des réponses. La caverne est adaptée à l’être humain, on peut se mettre dans tous les coins et recoins pour se cacher ou se reposer. ;
Les sons qui résonnent à l’intérieur sont sombres, étouffés. On ne peut ressentir aucune résonnance comme si la pièce absorbé le bruit. Depuis 1976, l’œuvre se situe au Centre Pompidou, un musée d’art moderne national qui se trouve à Paris. Pour ma part, je nommerais cette œuvre « no man’s land » car nous sommes seul, entourés par deux camps qui s’opposent : nous même et ce que l’œuvre nous fait ressentir.

lundi 15 décembre 2008

Visite de l'atelier de Christelle Familiari le 15 décembre 2008- Lycée Camille Jenatzy Paris

Christelle Familiari
Photographe, Plasticienne, Vidéaste,
Née en 1972, vit et travaille à Paris

Quelques exemples de son travail :
La panoplie de défense, épaule droite, 2003


(c) Adagp



Combinaison avec fermeture éclair, 1997


(c) Adagp

lundi 1 décembre 2008

SEANCE 3 - Parcours Croisé Centre Pompidou - IRCAM


A l'IRCAM - Travaux sur les sons de synthèse - 1er décembre 2008

SEANCE 3 - Parcours Croisé Centre Pompidou - IRCAM


A l'IRCAM - Travaux sur les sons de synthèse - 1er décembre 2008

SEANCE 3 - Parcours Croisé Centre Pompidou - IRCAM


Détail : Isolation d'ourloupes - 1er décembre 2008

SEANCE 3 - Parcours Croisé Centre Pompidou - IRCAM

Au centre Pompidou, devant le Jardin d'Hiver - 1er décembre 2008

SEANCE 3 - Parcours Croisé Centre Pompidou - IRCAM

Au centre Pompidou, devant le jardin d'hiver - 1er décembre 2008

jeudi 13 novembre 2008

SEANCE 2 - Visite des Halles

SEANCE 2 - Visite des Halles - 13 novembre 2008

SEANCE 2 - Visite des Halles

SEANCE 2 - Visite des Halles - 13 novembre 2008

SEANCE 2 - VISITE DES HALLES

SEANCE 2 - Visite des Halles - 13/11/08

SEANCE 2 - A L'IRCAM


SEANCE 2 - IRCAM - Enregistrement de nouveaux sons - 13/11/08

SEANCE 2 - A L'IRCAM

SEANCE 2 - IRCAM - Travail sur les sons enregistrés au Lycée Blériot

Séance 2 - à l'IRCAM


SEANCE 2 - IRCAM - Enregistrement de nouveaux sons

vendredi 7 novembre 2008

SEANCE 1 - Visite des Institutions - 6 novembre 2008

visite de découverte

Par Wendy, élève de 1 COM – LP Louis Blériot - Etampes

Dans un premier temps, nous nous sommes rendus au Centre Pompidou afin de visiter un musée d’art postmoderne. Avant d’entrer dans l’institution, Norbert Ruel notre guide nous a raconté l’histoire du symbole du centre Georges Pompidou.
L’artiste Reno qui est un jardinier, décidé à ravaler sa maison y a installé du carrelage blanc sans meuble, sans rien. Un jour il en a eu marre du carrelage et il cassa tout ce qui se trouvait à l’intérieur de sa maison. Il fit don d’un pot de fleur géant à l’institution. A l’intérieur du pot se trouvent des fragments de carrelage et voilà comment fut construit le symbole du Centre Pompidou.
Dans le musée, des œuvres nous ont été présentées, elles étaient intrigantes, amusantes. L’histoire des peintures, des sculptures et autres œuvres nous a été racontée. Nous avons ensuite admiré la plus belle vue qui s’offrait à nous.
Dans un deuxième temps, nous sommes partis à l’IRCAM. Cette institution créée des musiques contemporaines. Notre guide, Thibault Walter nous a fait visiter un studio d’enregistrement. Deux messieurs nous ont expliqué comment on créé des sons de synthèse et des sons électroniques.
Ensuite, nous sommes allés dans la salle an échoïque : cette salle sert à enregistrer des sons sans aucun bruit. La salle est faite de laine de verre. Puis on a visité la salle de projection. C’est là où se jouent les pièces et c’est là où se passent les concerts.
Après on a écouté les sons qu’on avait enregistré au lycée.
J’ai trouvé cette partie très intéressante. Elle m’a permis de me cultiver un peu plus et de mieux connaître le projet en cours. On n’a pas souvent l’occasion de visiter en détail les institutions surtout comme l’IRCAM.

jeudi 6 novembre 2008

SEANCE 1 - Visite des Institutions - 6 novembre 2008


SEANCE 1 - Visite des Institutions - 6 novembre 2008

SEANCE 1 - Visite des Institutions - 6 novembre 2008


SEANCE 1 - Visite des Institutions - 6 novembre 2008

SEANCE 1 - Visite des Institutions - 6 novembre 2008


SEANCE 1 - Visite des Institutions - 6 novembre 2008


SEANCE 1 - Visite des Institutions - 6 novembre 2008

SEANCE 1 - Visite des Institutions - 6 novembre 2008

jeudi 23 octobre 2008

A propos du concert à l'IRCAM - 1COM

MENU Rudolph :

« … la pièce qui m’a le plus plu est la pièce n°2, car quand on fermait les yeux, je trouve que le son agaçant que j’écoutais avant se transformait en une projection d’images dans ma tête, qui m’a permis de comprendre le thème que la musique dégageait… »

MONTEIRO Jessica :

« … On n’avait l’impression qu’il racontait une histoire : Au début, on pense au fil de la vie avec le geste qu’il fait avec ses mains. Les gens autour de lui écrivaient l’histoire par différents sons… »


FOURQUET Julien :

« … Les scènes au tambour m’ont particulièrement marqué, notamment grâce aux émotions dégagées par l’artiste, son investissement mental, les expressions de son visage et le message ou l’histoire qu’il a voulu exprimer. Sans comprendre, je suis persuadé qu’il s’agissait d’une histoire… »

VOILLARD John :

« … J’ai eu un sentiment d’incompréhension. Oui il y avait une histoire, une personne qui écrivait une lettre abstraite car c’était pour moi une découverte… »

ABDELLA Bruno :

« … J’ai bien aimé la pièce n°2 car je pense qu’il y avait un gros travail de groupe à faire, et que l’histoire qu’il voulait nous faire vivre était simple à comprendre pour moi en général… »

TCHIALLA Laetitia :

« … Au début, je ne comprenais pas l’objectif de leurs gestes mais en regardant derrière moi et en lisant le programme, j’ai compris qu’il y avait une histoire qui pour moi était concrète : un avion qui va s’écraser comme dans les dessins animés … »

DIAWARA Madicumba :

« … J’ai eu un sentiment d’incompréhension… Le musicien semblait raconter une histoire abstraite… »

PERROT Marine :

« … La pièce avec la trompette et le violon m’a moins plu que les autres, parce que je n’ai pas réussi à me mettre dans la musique et dans le rythme. Celle qui m’a le plus plu reste celle avec le tambour africain parce que c’est celle où le rythme et la musique étaient les mieux pour moi… »